Suivant Nikolay Grebennikov, CTO de La compagnie kaspersky, Apple est supposé incessamment ouvrir son operating system pour continuer à être compétitif. Mr Grebennikov a indiqué au magazine “Computing” qu’Apple ne pouvait pas s’obstiner à barrer son système de la sorte, afin de subsister concurrentiel et de pouvoir se défendre à armes égales avec Android, notamment concernant les antivirus. Android avec son marché de softwares très rempli, qui s’agrandit perpétuellement, représente un défi pour l’avancée d’Apple. En outre, la société Apple qui n’est pas un expert en sécurité pourrait laisser un risque sur ses possesseurs d’Iphone, d’Ipad et d’Ipod touch en barrant la porte aux éditeurs de logiciels de sécurité. La société Apple possède un système de sécurité pour chacunes ses machines mobiles, mais pourrait déprécier les menaces. La société kaspersky possède depuis de multiples ans un antivirus pour portable, tournant sous les plateformes Android et Blackberry. La plateforme Blackberry étant particulièrement dédiée aux professionnels, il se révèle vital de défendre leurs données. Android a connu il y a un certain nombre de mois une vague d’actions via des logiciels mauvais disponibles sur son Android Market. Avec l’installation de programmes ayant accès à des informations sensibles et personnelles comme Facebook, Twitter ou encore les logiciels des banques, il est en outre en plus important de sécuriser ses smartphones. Qui à l’heure actuelle laisserait un PC sans aucune défense et relié à Internet ? Ce genre d’actions se porte aussi pour les ordinateurs Apple, car il faut maintenant un antivirus pour Mac. Il en va de manière équivalente pour l’ensemble des mobiles intelligents, qui ressemblent présentement de plus en plus aux ordinateurs classiques, ce qui révèle de gros avantages en terme d’utilisation, mais implique en outre de gros risques en matière de sécurité. Sur la plateforme Apple, plusieurs façons pour jailbreaker coupent les failles utilisées pour transformer le système, bloquant ainsi la porte à des infections futures. Mais la totalité des failles n’étant pas publiques, aucun utilisateur de mobile, sous quelque plateforme que ce soit, n’est à l’abri d’un assaut.